Belle, la rêveuse.

Tu es née dans une chaumière,

Élevée par un père,

Qui passe ses journées entières,

A essayer de créer des inventions,

Toutes droites sorties de son imagination.

Vous ne possédez rien,

Vous n’avez aucun bien,

Et pourtant vous êtes chanceux,

Tant d’amour habite en vos lieux.

Belle, Belle, oh toi ma Belle,

Tu n’es pas née princesse,

Mais tu as le cœur d’une reine.

Et dès le levé du soleil,

Tu nous émerveilles,

Par tes sourires bienveillants,

Et par le son de tes chants,

Belle, Belle, oh ma Belle,

Ta prévenance et ta gentillesse,

Ont changé la bête avec sagesse.

Lui qui était de nature rudesse,

Pour toi, il est devenu un être de noblesse,

Rempli de délicatesse.

Belle, Belle, oh ma Belle,

Tu nous as prouvé,

Que l’amour, le vrai,

Se cache parfois sous de vilains traits,

Et que seule la bonté,

Peut découvrir la beauté cachée.

Belle, Belle, oh ma Belle,

J’aimerais un jour,

Qu’une personne telle que toi,

Me regarde avec émoi,

Et ne voit que mon cœur qui bat,

Que mon âme et ma flamme,

Et ne s’attarde pas,

Sur mon physique ingrat,

Qui ne reflète pas ce qu’il y a en moi.

Belle, Belle, oh ma Belle,

Merci de m’avoir donné l’espoir,

De trouver un amour rare.

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